Il y a des expériences qui marquent un tournant. Pour moi, ce fut mon passage sur Radio Campus Bruxelles, invitée par Martine Inack-Thieulin.
En mars 2021, je me suis lancée dans l’entrepreneuriat. Rapidement, j’ai compris que la communication serait essentielle… mais c’était ma bête noire.
Sur les réseaux comme à l’oral, je m’étais persuadée que je n’étais pas capable de faire passer un message clair et impactant. Mes hésitations, mon manque de structure : autant de raisons qui me faisaient penser que je n’étais pas une « bonne communicante ».
Alors, quand Martine m’a proposé de venir parler de slowpreneuriat en direct à la radio, j’ai décidé de sauter à l’eau.
Une première… et une révélation
Ce que je redoutais s’est transformé en révélation. Non seulement j’ai réussi à partager ce sujet qui m’anime tant, mais j’ai surtout ressenti une énergie nouvelle, une joie inattendue.
Moi qui craignais d’être maladroite, j’ai découvert que je pouvais trouver du plaisir et même de la légèreté dans cet exercice.
L’esprit du slowpreneuriat
En slowpreneuriat, on privilégie les actions qui nous nourrissent, celles que l’on fait avec plaisir, plutôt que de s’épuiser dans des stratégies qui ne nous correspondent pas. Cette expérience en est devenue l’illustration parfaite : en acceptant cette invitation, j’ai trouvé une nouvelle corde à mon arc… sans forcer, mais en suivant mon énergie.
Merci encore à Martine pour cette opportunité précieuse, qui m’a permis de faire d’une pierre deux coups :
- partager le slowpreneuriat avec un public plus large,
- et découvrir une ressource insoupçonnée en moi.
Envie d’entendre cette première prise de parole ? L’interview est disponible en replay.